Karma, Karma, qu’as-tu contre moi ? #2

by - vendredi, février 15, 2013

8h de vol, 2 films, 3 épisodes de série, 43 minutes de sommeil et un petit-déjeuner plus tard, j’atterris enfin sur le sol australien. Une fois la douane passée et mes bagages récupérés (heureusement que ces derniers m’ont suivi à Brisbane et ne sont pas arrivés tous seuls à Sydney), il me faut faire face à un autre problème… Car si j’ai bien pensé à fermer ma valise avec un cadenas, j’ai vraisemblablement perdu les clés dudit cadenas dans la bataille. Non, non, je ne suis pas du tout tête en l’air. Je pars donc à la recherche de quelqu’un qui saurait comment ouvrir ou forcer un cadenas, et après avoir interrogé une grande partie du staff de l’aéroport, je tombe sur un agent du service de quarantaine qui veut bien m’aider. Armée d’une pince coupante qui fait à peu près deux fois la taille de mon bras, j’arrive donc –après 10 minutes d’acharnement- à casser ce minuscule cadenas.

Il faut maintenant ré-enregistrer l’ensemble de mes bagages : ma valise qui, au départ de Paris, pesait 22kg, en pèse maintenant 23 d’après la balance au check-in. Etrange.

Ceci dit, cela fait quand même du bien de se retrouver –enfin- sur le territoire australien. La fin du voyage est proche ! Et il y a déjà quelques signes qui montrent que je suis dans un pays différent. Les panneaux de signalisation étranges, pour commencer !

  

Finalement, après un troisième et dernier vol de 1h25 sous un soleil éclatant (ce qui m’a permis de regarder à travers le hublot l’atterrissage à Sydney – magnifique !), je suis enfin à bon port. Il ne me reste plus qu’à comprendre comment aller de l’aéroport au centre de la ville, toute seule avec mes 30kg de bagages, mais ça, c’est une autre histoire. :)

Oh et devinez ce qui se trouvait tout au fond de mon sac quand je l’ai défait une fois arrivée dans ma chambre ? Les fameuses clés de cadenas … Oui, j’ai forcé mon cadenas pour rien, je suis vraiment pas douée…

Vous aimerez aussi...

0 petit(s) mots